 |
Fenêtre
d'une des salles du musée.
À la fin du Moyen Âge et à la Renaissance, les fenêtres sont
divisées en quatre parties. Le plus souvent, seul le haut a des
carreaux de verre. Les volets étaient généralement placés à
l'intérieur des pièces et non pas sur le mur extérieur.
|
 |
La
crosse est un symbole de pouvoir religieux. Elle est composée de
trois parties : il s'agit d'un long bâton qui porte à son sommet
un élément recourbé, ici en cuivre émaillé, et à sa base un
élément en métal qui évite d'user le bâton en le frottant sur
le sol. Les évêques et les abbés portent une crosse pour
signifier leur autorité respectivement sur la cathédrale ou le
monastère.
|
 |
Les
coffres servent à ranger et à transporter le linge, les bijoux,
l'argent, mais aussi la nourriture. Ce beau coffre, décoré
d'arcades sculptées est de si grande taille (2,85 m de long)
qu'il devait rester fixe ; il est divisé en deux compartiments
auxquels correspondent deux couvercles indépendants.
|
 |
Un
stylet est une petite pointe, ici en argent, qui permet de tracer
des signes dans une surface molle. Depuis l'Antiquité jusqu'à la
fin du Moyen Âge, une partie des textes étaient inscrits de manière
provisoire ou définitive sur des plaquettes de cire. Certains
copistes préparent le parchemin en y traçant des lignes avant
d'y inscrire à l'encre le texte désiré. L'autre extrémité est
un petit grattoir qui permettait au copiste d'effacer les fautes
ou les taches d'encre sur le parchemin.
|
 |
Les
hommes de la fin du Moyen Âge sillonnent l'Europe. Parmi ces
voyageurs on rencontre des soldats et des marchands mais aussi des
lettrés. Ce petit étui de cuir estampé se compose d'une boîte
cylindrique et de son couvercle. Les deux parties étaient assemblées
grâce à une petite cordelette qui permettait de suspendre l'étui
à la ceinture. On pouvait y ranger un encrier et quelques plumes
qui étaient taillées juste avant usage.
|